L’an dernier, c’est avec un optimisme raisonnable que nous entamions la nouvelle année. Mais, c’est peu de dire que la période que nous vivions, depuis le début de la pandémie de Covid-19, en 2020, s’est avérée totalement imprévisible, sur le plan économique et radicalement différente sur le plan sociétal, en particulier dans le rapport au travail de nos plus jeunes générations.
Nous traversons des turbulences jamais vécue auparavant. Pour les surmonter, seuls l’agilité, la flexibilité, le reflexe nous le permettront.
L’entrepreneuriat – et son corollaire dans les grandes entreprises, l’intrapreneuriat par la subsidiarité – est la seule bonne réponse aux défis d’aujourd’hui, le seul moyen concret d’assurer la prospérité de l’humanité et la solidarité envers les plus défavorisés.
Il est aussi l’un des meilleurs facteurs de paix : « Le commerce guérit des préjugés destructeurs ; et c’est presque une règle générale, que partout où il y a des mœurs douces, il y a du commerce ; et que partout où il y a du commerce, il y a des mœurs douces » écrivait Montesquieu.
Dans cet espoir, je vous souhaite, de tout cœur, une année 2024 heureuse et prospère.